Pendant des décennies, il a rythmé le quotidien des familles des mineurs d’Aytua et d’Escaro. Cahin-caha, bon an mal an, le petit autobus de Sébastien Nicolau - repris ensuite par son neveu René Llabour - assurait vaillamment le désenclavement (déconfinement ?😅 ) de la commune.
Vous vous souvenez l’avoir emprunté ? Avoir ouï-dire de ses rocambolesques épopées à travers le Conflent ? Racontez nous quelques anecdotes à son sujet. Faites nous partager vos souvenirs.
Attention à la fermeture des portières et en voiture Simone…
Photo © Collection Familiale Francine Moné
Francine Moné :
L’arrêt de bus c’était devant la coopérative devant la maison Gomez .l’autobus descendait à Serdinya et là on prenait le bus d’Olette .qui s’arrêtait devant chez Liotard à Prades (plein centre ville )il y avait liotard qui grillait son café sur le trottoir (ça sentait bon)et on buvait un café crème croissant chez Bertrand (café en face de l’épicier Liotard))on descendait à Prades avec ma mère pour des achats pour aller chez le dentiste chez le coiffeur où se faire opérer des végétations mais c’était exceptionnel !!!tout le nécessaire était acheté à la coopérative ouvrière et familiale où l’on achetait avec un carnet
Marie Ange Py Marlot :
Je me rappelle bien du transport llabour mais j ai un souvenir qu on descendait à pied à travers champ avec ma mère et henriette ma tante ,puis plus de souvenir du bus, pour aller à Prades dentiste